Peinture des 5 doigts

Début, sans doute,

beaucoup de mélanges de verts en perspective sur cette peinture :

L'amour ne se conclut pas, comme un marché.

L'amour, c'est un oiseau. Imprévisible, fantasque.

Fragile aussi, et périssable.

Et cet oiseau, pourtant, d'un seul battement d'ailes,

allège nos existences de tout le poids de l'absurdité.

(Louise MAHEUX-FORCIER)

Il nous faut écouter l'oiseau au fond des bois,

le murmure de l'été, le sang qui monte en soi.

(Jacques BREL)

Peinture sur toile (70cm x 50cm)
à la demande sur commande à partir d'une photo.

Peinture à la demande sur commande. 

Début :

Encore une année passée,

et je porte toujours mes sandales et mon chapeau de pélerin.

(Haï-Kaï - Matsuo Munefusa dit Basho link)

Il suffit d'un sourire entrevu là-bas sous un chapeau à bavolet lilas,

pour que l'âme entre dans le palais des rêves.

(Victor Hugo)

La senteur des fleurs, ou du santal, ou de l'encens,

ou du jasmin ne remonte pas le vent.

Dans toutes les directions,

l'homme sage répand le parfum de sa vertu.

(Le Dhammapada - Bouddha)

 Le bonheur n'est pas un but qu'on poursuit âprement,

  c'est une fleur que l'on cueille sur la route du devoir.

(John Stuart)

Il m'est égal de lire que les sables des plages sont chauds,

  je veux les sentir de mes pieds nus.

       (André Gide)

J'ai toujours aimé le désert.

On s'assoit sur une dune de sable.

On ne voit rien. On n'entend rien.

Et cependant quelque chose rayonne en silence...

(Antoine de Saint Exupéry)

Nos actes sont des pas sur la plage, la marée les efface.

Nos oeuvres sont écrites sur le sable,

le vent les efface sans les lire.

(Jean Grosjean)

La musique, ce qu'elle est : respiration.

Marée. Longue caresse d'une main de sable.

(Souveraineté du vide) - Christian Bobin

Je marche éternellement sur ces rivages,

entre le sable et l'écume.

Le flux de la marée effacera l'empreinte de mes pas,

et le vent emportera l'écume.

Mais la mer et le rivage demeureront éternellement.

(le sable et l'écume). Khalil Gibran

Le désert n'ayant pas donné de concurrent au sable,

grande est la paix du désert.

(tranche de savoir). Henri Michau

Sur mes cahiers d'écolier - Sur mon pupitre et les arbres - Sur le sable sur la neige - J'écris ton nom - Sur toutes pages lues - Sur toutes les pages blanches - Pierre sang papier ou cendre - J'écris ton nom. ..

Début :

Comprendre, c'est le reflet de créer. (Auguste Villiers de l'Isle Adam)

L'écrit est trompeur, il ne reflète pas la réalité.

Le reflet est pour les couleurs ce que l'écho est pour les sons. (Joseph Joubert)

Laisse faire les autres. A scruter les êtres et les choses de trop près,

ils finissent par n'en plus voir la vérité, ni le reflet. (Cécile Chabot)

Partir ! Aller n'importe où, vers le ciel ou vers la mer,

vers la montagne ou vers la plaine ! Partir !

Aller n'importe où, vers le travail, vers la beauté ou vers l'amour !

Mais que ce soit avec une âme pleine de rêves et de lumières,

avec une âme pleine de bonté, de force et de pardon !

S'habiller de courage et d'espoir, et partir,

malgré les matins glacés, les midis de feu, les soirs sans étoiles.

Raccomoder, s'il le faut, nos coeurs

comme des voiles trouées, arrachées au mât des bateaux...

Lançons-nous donc à l'aventure d'une demande particulière : une peinture sur toile à partir du modèle de la statue "David de Bronze" sculptée en 1430 par Donatello.

Elle se trouve au musée national de Bargello (palais à Florence, construit en 1255 abritant depuis 1855 ce musée de collections de sculpture gothique et de la renaissance, qui sont les plus importantes d'Italie).

On verra... la toile choisie est grande, il paraît que personne n'a encore osé essayer.

En cours... Début, premiers tracés

L'histoire de cette statue a été considérée comme d'utilité publique mais son financement privé. Ensuite, elle est présentée au gouvernement républicain de Florence, comme une allégorie politique pro-républicaine, présentant le renversement violent de la tyrannie des Médicis.

Ce qu'elle représente : le jeune roi David, avec un énigmatique sourire, juste après sa victoire, le pied posé sur l'imposante tête de Goliath. Debout, nu, avec seulement un chapeau et des bottes, tenant l'épée de Goliath, les plumes de son casque montant le long d'une de ses jambes.

La nudité des sculptures à l'époque de la reconnaissance était un concept à rendre compte de la pureté, de la bonne moralité et de la vertu des héros.

Voilà, franchement, cette statue, c'est pas de la tarte !

Par merveilleux hasard, la toile se trouve au restaurant pizzeria "le Donatello".

Pour savoir qui était Donatello clic link

Avec l'aimable collaboration du journaliste, Antoine Busnel (Journal du Centre)
Blog Bourguignons.

link

Peinture à la demande sur commande.

Enfin des tuiles d'une bonne centaine d'années, une fois bien nettoyées, repeintes, restera forcément le charme de leur unique authenticité.

Alors au boulot, décapons !

Ensuite, commence le travail de peinture. Tiens, c'est d'abord tout en fleurs :

 Dans un grain de sable voir un monde  

Et un ciel dans une fleur sauvage  

Faire tenir l'infini dans la paume de la main

Et l'Eternité dans une heure.

Commençons par ce bouquet composé de roses sauvages et de lavande cueillies

aux abords des écluses à Marseille les Aubigny,

des petits restaurants, des commerces aussi attirants

qu'il ne manque plus qu'une seule étincelle

pour faire renaître le feu d'un espoir d'être réhabilités,

dans le secret de leur abandon,

tout a été déserté, restent quelques amis éclusiers,

des navigateurs redressant la barre de leur péniche,

ne vivant qu'à l'heure du jour et du soleil

libres, bohèmes, parfois artistes peintres au coeur de la nuit :

Quelques citations en éclaboussure de peinture couleur feu :

La profondeur et la figure des côtes,

les vents et les courants altèrent tellement la hauteur des marées,

qu'il n'y a peut-être pas deux endroits sur la terre

où elle soit exactement la même.

(Jean le Rond d'Alembert)

Autour de Bosserville, les grands vents tourmentent le ciel

et balayent la Lorraine dont le coeur sommeille.

(Maurice Barrès)

Les drapeaux acceptent les services des vents les plus exotiques.

  (Sylvain Tesson)

 Ce sont les libellules qui ont inventé le vol, sans elles, pas d'avions dans le ciel !

La pensée a des ailes. Nul ne peut arrêter son envol

(de Youssef Chahine)

Les feuilles de l'or battu laissent passer de la lumière

par leurs gerçures accidentelles,

mais cette lumière qui traverse l'or est bleue.

Je ne trempe pas ma plume dans un encrier, mais dans la vie.

De Blaise Cendrars (l'homme foudroyé)

Un coup de baguette, et les livres sont écrits, le cinéma tourne,

la plume dessine, le théâtre joue. C'est fort simple.

Magicien. Ce mot facilite les choses inutiles de mettre nos oeuvres à l'étude.

Tout cela s'est fait tout seul.

(Jean Cocteau)

Les balades dans la nature me portent

à la découverte d'un langage des plus subtiles et raffinés

aux formes multiples et variées.

La saison chaude en ce moment,

fait que les oiseaux perdent de leurs plumes

pleine de douceur et de tendresse pour leur nid.

Je les ai rajoutées à la peinture pour les feuilles

avec quelques paillettes d'or pour les pétales de fleurs.

Leurs plumes servent aux oiseaux à tracer des lignes dans le ciel.

(Sylvain Tesson)

L’aphoriste est un peintre sans pinceau,

un photographe sans appareil.

Elle ou il se contente des mots pour saisir l’instant.

Il transforme le réel en paroles.

Le bonheur ne se trouve pas toujours dans un ciel éternellement bleu,

mais aussi dans les choses les plus simples.

(Carmen Sylva)

Il suffit de croiser son regard avec celui d'un chat

pour mesurer la profondeur des énigmes

que chaque paillette de ses yeux pose aux braves humains que nous sommes.

(Jacques LAURENT)

Cédé le 16 mai 2012

Un p'tit resto à Pougues les Eaux,

vous le reconnaîtrez sûrement si vous passez par là.

Peinture à la demande sur commande.

Le rivage est plus sûr, mais j'aime me battre avec les flots.

(Emile Dickinson)

On ne peut découvrir de nouvelles terres sans consentir à perdre de vue

le rivage pendant une longue période.

(André Gide)

Le voyage pour moi, ce n'est pas arriver, c'est partir.

C'est l'imprévue de la prochaine escale,

c'est le désir jamais comblé de connaître sans cesse autre chose,

c'est demain, éternellement demain.

(Roland Dorgelès)

Le luxe et l'éclat de la fleur affirme

que le bonheur est au bout de la passion satisfaite,

son affaiblissement et ses pâles couleurs,

que la souffrance est au bout de la passion comprimée.

(Alphonse Toussenel)

Dernier recours :

du mordant à la pensée :

par elle, l'expression se concentre, se colore et se trempe ;

en individualisant ce qu'elle touche, elle le vivifie et le consacre.

(Henri Frédéric Amiel)

La mer est un élément capital pour la connaissance des peuples,

elle modèle les moeurs comme elle fait les rivages.

Tous les peuples marins ont du caprice, sinon de la folie dans l'âme.

(André Suarès)

Tout se donne à voir, sur le ciel d'un visage.

(Christian Bobin)

Penser à partir de sa raison, ses sentiments et son imagination.

  Penser contre soi, c’est s’acheminer vers la vraie humilité,

contre toutes les hypocrisies,

contre tous les conforts niés en toute fausseté.

Vite fait un peu de peinture et d'encre de chine,

et mettre en mouvance les pinceaux.

"Une fleur est écrite au bout de chaque doigt

et le bout du chemin est une fleur qui marche avec toi".

(Tristan Tzara)